dimanche 2 mars 2008

Marcher et Comprendre


C'était il y a une heure, une longue balade, les pieds dans l'eau (un peu plus que les pieds, les vagues m'ont aspergée !). A contre-jour, dans la lumière, l'air gorgé d'ions négatifs, le soleil frissonnant des jours de printemps, la douce fraîcheur de l'air, le coeur empli de gratitude. Et cette phrase qui a traversé mon esprit :
"Certains gardent vivants leurs morts en eux, d'autres les gardent morts en les pleurant toute leur vie." A l'instant où je ne savais plus où je finissais et où commençaient la lumière, l'eau et le vent, j'ai vécu tout ce que j'ai écrit depuis hier. Vécu, dans mes cellules que je sentais célébrer la Vie dans une ronde sublime...

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